Directeur de thèse : Jean-Marc BROSSIER
Co-encadrant : Cyrille SICLET
École doctorale : Electronique, electrotechnique, automatique, traitement du signal (EEATS)
Spécialité : Signal, image, parole, télécoms
Structure de rattachement : Université Grenoble Alpes
Établissement d'origine : INPG - ENSIEG
Financement(s) : Bourse dga
Date d'entrée en thèse : 01/10/2008
Date de soutenance : 19/12/2011
Composition du jury :
M. Benoît GELLER, rapporteur
M. Christophe LAOT, rapporteur
M. Jean-Marie GORCE, examinateur
M. Philippe POULIGUEN, examinateur
M. Jean-Marc BROSSIER, directeur de thèse
M. Cyrille SICLET, co-directeur de thèse
Résumé : Le milieu sous-marin est doublement dispersif, en temps et en fréquence. L'utilisation récente de signaux de communication multiporteuses offre une solution pour lutter contre la sélectivité fréquentielle. Mais ce type de signaux reste très sensible à la dispersivité fréquentielle. Cette thèse se concentre sur le problème de la dispersivité fréquentielle qu'est l'effet Doppler. Des méthodes d'estimation du paramètre Doppler sont développées pour des signaux multiporteuses DMT. Est également abordé le problème de la compensation Doppler dans les cas mono et multitrajets. Une méthode générale et une méthode spécifique au signaux multiporteuses sont présentées et testées sur simulation. Cette thèse se distingue par son modèle du canal sous-marin qui considère un paramètre Doppler différent sur chaque trajet. Ceci résulte de la géométrie du problème et des vitesses émetteur/récepteur considérées. Nous présentons finalement des méthodes pour séparer les différents trajets arrivant sur une antenne afin de pouvoir considérer un paramètre Doppler unique sur chacun.