Directeur de thèse : Christine SERVIERE
Co-directeur de thèse : Franck QUAINE
École doctorale : Electronique, electrotechnique, automatique, traitement du signal (EEATS)
Spécialité : Signal, image, parole, télécoms
Structure de rattachement : Autre
Établissement d'origine : Polytech''Grenoble - UGA
Financement(s) : Contrat doctoral
Date d'entrée en thèse : 01/10/2010
Date de soutenance : 11/04/2014
Composition du jury :
Pr. Philippe RAVIER, université d'Orléans, France
Pr. François GUILLET, université de St-Etienne, France
Pr. Roberto MERLETTI, Politecnico di Torino, Italie
Pr. Mark LATASH, Pennsylvania State University PA, USA.
Dr. Franck Quaine, GIPSA-lab
Dr. Christine Servière, GIPSA-lab
Résumé : L'évaluation des tensions musculaires chez l'Homme dans les sciences du mouvement présente un grand intérêt pour le sport, la santé ou encore l'ergonomie. La biomécanique utilise la cinématique inverse pour recalculer les tensions musculaires internes à partir de mesures externes de forces. Cependant ces problèmes sont sous-déterminés et nécessitent l'usage de procédures d'optimisation. Dans ce contexte l'électromyographie (EMG), mesurable à la surface de la peau et témoin de l'activité musculaire, donne une idée de l'activité des muscles sous-jacents. Ce travail de thèse montre l'intérêt de l'EMG dans l'étude de l'utilisation d'un prototype d'interface homme-machine novateur. Dans un second temps l'accent est mis sur l'étude des conditions expérimentales précises permettant l'utilisation des techniques de séparation de sources en contexte linéaire instantané afin d'éviter le problème du cross-talk (addition de signaux en provenance de plusieurs muscles sur un même capteur)